Quatre ans après le succès de Frenchy, Thomas Dutronc nous revient avec de nouvelles chansons dont Il n’est jamais trop tard, une déclaration d’amour pimentée de nostalgie et illuminée par la guitare de Stochelo Rosenberg, “l’un des meilleurs du monde”, assure Thomas, en fin connaisseur du jazz manouche. Il y est question d’amour évidemment, mais aussi du don de soi le plus pur, un acte devenu rare et précieux dans ce monde si égocentrique. C’est un art de vivre, un état d’esprit à cultiver. “Voilà ce que j’essaie de faire passer avec mes petits moyens et mes chansons. Donner envie de rêver, de jouir des petits instants de bonheur partagé, de voyager un peu.”
Ce single est issu de l’album du même nom, Il n’est jamais trop tard, que Thomas Dutronc a concocté avec quelques uns de ses proches, comme Fred Jaillard à la production et David Chiron, pour la musique.